Un combat acharné d'espoir.
Sur cette page vous trouverez une ébauche d'un roman que j'aimerai publié plus tard.
C'est un roman basé sur mon histoire personnelle, j'aimerai donc qu'il n'y ai aucun plagiat.
Merci.
Pour commencer voici le résumé :
Anastasia est une jeune collégienne pleine de vitalité.
Souriante et aimant la vie, elle continue de mener sa petite vie tranquille.
Jusqu'au jour où sa jeunesse va brutalement changé à cause de ce terrible diagnostic annoncé en 2008.
Suivez cette jeune fille qui a su remonter la pente après la maladie, les chagrins d'amour, la solitude... Cette jeune fille qui grâce à sa volonté, à sa soif de vivre et au soutien de sa famille respire encore à pleins poumons.
Chapitre 1 :
La vie on pense qu'elle est simple et qu'elle est belle comme dans les contes de fées. Jusqu'au jour où ça vous tombe sur la tête. Une épreuve infernale qui brise tous vos projets, votre petite vie de famille tranquille. Oui, le genre d'épreuve qui balaye tout sur son passage comme une tornade. C'est à partir de là que vous avez une nouvelle façon de penser. Vous avez gagner une certaine maturité et vous ne comprenez plus les gens et le monde qui vous entoure. C'est ici que tout à commencer : le jour du diagnostic. Mais commençons par le début.
Je me nommes Anastasia.
Je suis petite avec des yeux marrons et des cheveux châtain. J'ai
toujours le sourire et suis à l'écoute des autres. J'ai très peu
confiance en moi et je suis têtue. J'aime beaucoup me rendre utile et je suis plutôt de nature généreuse.
J'ai une famille
extraordinaire. Nous sommes cinq dans une petite maison dans le centre de la France. J'ai une mère épatante avec une force de caractère
incroyable. Elle est ma confidente la plus proche et une complicité
unique nous lie. Mon père est entré dans ma vie quand j'avais six
ans. Je le considères comme le seul même si il ne m'a pas conçu.
C'est lui qui m'a élevé et qui m'a vu grandir. J'ai la chance d'avoir deux petits frères qui sont
mes deux rayons de soleil. Deux blonds qui deviennent de plus en plus
grand chaque jours et qui commencent à s'affirmer niveau caractère.
Nous sommes très proches même si parfois il y a des disputes. J'ai aussi deux grands-parents extraordinaires qui sont importants et qui m'ont toujours soutenu.
Ma vie n'est pas
extraordinaire. Elle est simple mais j'ai cette chance d'être aimé
par ma famille et de pouvoir toujours compté sur eux quoi qu'il
arrive. Je sais que ce n'est pas donné à tous le monde d'avoir une
famille soudée. J'ai vingts ans aujourd'hui, à l'heure où je vous
écris mon histoire. Ma vie qui paraît plutôt tranquille à première vue a commencé à devenir un parcours du combattant vers mes quinze ans. C'est ainsi que tout
commença.
Cette année là,
j'avais 14 ans, j'étais une collégienne un petit peu timbrée et
immature comme la plupart des jeunes de mon âge. Mais je croquais la
vie à pleine dents sans me préoccuper du lendemain. J'étais
joyeuse et débordante de vie. L'insouciance ne me quittait pas, je
voyais la vie en rose et rêvait encore du prince charmant.
Le regard des gens je
m'en fichais royalement, je demeurais celle que j'aimais être. Le
concept de l'apparence était dérisoire à mes yeux. Les moqueries
enfantines de ces adolescents qui n'aimaient pas mes goûts musicaux ou autres je m'en moquais. Certains riaient de ma
voix fluette et aiguë mais moi je l'appréciais, c'est tout ce qui
comptait à mes yeux.
Ma vision de la vie en
2008 était plutôt simple surtout en ce qui concernait l'amitié. Le
fait de rire, passer du temps avec certaines personnes et parfois les
écouter se plaindre était selon moi la notion de l'amitié. Une
illusion naïve de collégienne.
J'étais ce genre de
gamine qui n'aimait pas les vacances surtout celles qui duraient deux
mois. Elles étaient vraiment trop longues et je m'ennuyais. J'aimais l'école, apprendre de nouvelles choses et m'amuser dans la
cour de récréation avec mes amis.
Le français était ma
matière favorite, j'aimais les livres qu'on nous donnait à lire.
Apprendre les genres littéraires. L'histoire je la trouvais
intéressante mais j'étais heureuse de ne pas avoir vécue à
certaines époques de celle-ci. Les mathématiques je les fuyais, je
n'y comprenais rien et j'étais lente pour calculer. Sans cette
fameuse calculette j'étais perdue dans ce monde des chiffres. En
anglais, j'avais du mal à me concentrer et à comprendre ce qu'on
m'apprenait. Mais pour mes professeurs, j'étais plutôt douée mais
je n'avais pas assez confiance en moi, ce qui ruinait tous mes
efforts. Je préférais
l'espagnol, je trouvais cette langue plus facile à apprendre. Puis
la sonorité de la langue était plutôt joyeuse et chantante.
C'était déjà la fin
de l'année scolaire. J'allais rentrer au lycée en septembre.
J'avais hâte bien que l'appréhension était là. J'allais sans
doute ne plus voir tous ce petit monde et faire de nouvelles
connaissances. J'avais aussi cette peur de me perdre dans les
couloirs du bâtiment.
Mais je ne pensais pas
que ce qui m'attendait serait bien pire. La vie me réservait un
avenir avec des épreuves éprouvantes pour un petit bout de femme
qui n'a que quatorze ans.
Chapitre 2
Chapitre 2
Notes sucrées
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